Je l’ai connu au moment où elle était Zanga la Daza… Mais aujourd’hui, quand on parle de cyberharcèlement au Bénin, elle est la première militante que je connais. Nous avons une grande chance d’avoir une personne comme elle à la tête d’un mouvement du genre, ayant elle même été victime de cyberharcèlement. Force à toi Majoie. 🇧🇯❤️
Majoie, ce que tu fais contre le cyberharcèlement au Bénin est bien plus qu’un combat : c’est une lumière pour tant de jeunes qui, chaque jour, subissent la méchanceté gratuite derrière un écran. Tu leur montres qu’ils ne sont pas seuls, que la valeur d’une personne ne se mesure pas aux jugements des autres, mais à ce qu’elle est, profondément et authentiquement.
Dans un monde où les mots peuvent blesser plus qu’on ne l’imagine, tu élèves la voix pour rappeler à cette jeunesse qu’elle n’a pas à se conformer aux diktats d’une société parfois cruelle. La nature nous a façonnés chacun à sa manière, et aucun regard extérieur ne devrait nous faire douter de notre beauté et de notre légitimité d’exister tels que nous sommes.
Tu es une source d’inspiration, une force qui brise le silence et redonne confiance à tant de personnes. Merci pour ce que tu fais, merci d’exister, et surtout, ne t’arrête jamais. Le Bénin, et bien au-delà, a besoin de voix comme la tienne.
Moi j’ai commencé par vous suivre à cause de votre personnalité douce et naturelle. J’adore la cause que vous défendez et surtout les meilleurs innovations que vous faites. Je me suis plus accroché à vous grâce à l’événement organisé par vous et tata Précieuse . Lors de votre intervention j’ai adorée votre dévouement et l’intelligence qui se dégageait dans vos écrits.
Je suis Majoie HOUNDJI, non seulement a cause de sa bravoure et sa détermination,mais pour sa lutte au quotidien contre les violences basé sur le genre. J’ai eu l’occasion de l’écouter raconter son vécu, être complexé a cause de sa forme etc… Mais elle a su tenir. Et aujourd’hui elle elle une figure emblématique qui inspire nombre.
C’est pourquoi je la suis. Au passage, félicitations pour le trophée Open conscience.
Je l’ai connu au moment où elle était Zanga la Daza… Mais aujourd’hui, quand on parle de cyberharcèlement au Bénin, elle est la première militante que je connais. Nous avons une grande chance d’avoir une personne comme elle à la tête d’un mouvement du genre, ayant elle même été victime de cyberharcèlement. Force à toi Majoie. 🇧🇯❤️
Majoie, ce que tu fais contre le cyberharcèlement au Bénin est bien plus qu’un combat : c’est une lumière pour tant de jeunes qui, chaque jour, subissent la méchanceté gratuite derrière un écran. Tu leur montres qu’ils ne sont pas seuls, que la valeur d’une personne ne se mesure pas aux jugements des autres, mais à ce qu’elle est, profondément et authentiquement.
Dans un monde où les mots peuvent blesser plus qu’on ne l’imagine, tu élèves la voix pour rappeler à cette jeunesse qu’elle n’a pas à se conformer aux diktats d’une société parfois cruelle. La nature nous a façonnés chacun à sa manière, et aucun regard extérieur ne devrait nous faire douter de notre beauté et de notre légitimité d’exister tels que nous sommes.
Tu es une source d’inspiration, une force qui brise le silence et redonne confiance à tant de personnes. Merci pour ce que tu fais, merci d’exister, et surtout, ne t’arrête jamais. Le Bénin, et bien au-delà, a besoin de voix comme la tienne.
Moi j’ai commencé par vous suivre à cause de votre personnalité douce et naturelle. J’adore la cause que vous défendez et surtout les meilleurs innovations que vous faites. Je me suis plus accroché à vous grâce à l’événement organisé par vous et tata Précieuse . Lors de votre intervention j’ai adorée votre dévouement et l’intelligence qui se dégageait dans vos écrits.
Je suis Majoie HOUNDJI, non seulement a cause de sa bravoure et sa détermination,mais pour sa lutte au quotidien contre les violences basé sur le genre. J’ai eu l’occasion de l’écouter raconter son vécu, être complexé a cause de sa forme etc… Mais elle a su tenir. Et aujourd’hui elle elle une figure emblématique qui inspire nombre.
C’est pourquoi je la suis. Au passage, félicitations pour le trophée Open conscience.